Titre : Les Ailes De La Nuit
Titre original : Mine Till Midnight
Série : Les Hathaway (n°1)
Auteur : Lisa KLEYPAS
Genre : Régence
Année de parution fr : 2011
Edition : J'ai Lu Collection : Aventures & Passions
N° 9424
4e de couverture :
Après une vive déception amoureuse, Amelia Hathaway n'espère plus se marier, d'autant qu'elle est devenue le pilier de toute sa famille.
Le jour où elle vient récupérer son frère Léo dans les bas-fonds de Londres, elle rencontre Cam Rohan
qui gère un club de jeu. Un homme déroutant et inclassable, ni
gentleman ni canaille, qui transforme en or tout ce qu'il touche.
Pour la première fois de sa vie, Amelia serait tentée de s'appuyer sur
cette épaule solide, mais elle ne se fait pas d'illusions : pour Cam,
l'appel de la liberté sera toujours plus fort que tout...
Mon avis :
Ce livre est resté de longs mois dans ma PAL avant que je me décide à le
lire. Je l'avais acheté parce que j'aime beaucoup cet auteur qui ne m'a
jamais déçue, mais le thème ne me disait rien. C'est finalement le
destin, (si cher aux roms qui s'illustrent dans ce roman), sous la forme
du logiciel de tirage au sort "The Hat" qui m'a fait le commencer.
Il s'agit du premier tome de la saga "Les Hathaway" où nous suivons les
aventures d'une famille marquée par la malchance. Le jour où Leo, l'ainé
de la famille (qui est devenu une loque suite à un drame) hérite d'un
domaine , ils pensent qu'enfin leur chance a tourné, et emménagent dans
leur nouvelle maison. Etant orphelins, et devant la défaillance du grand
frère, c'est à Amélia, l'héroïne, qu'il revient de prendre soin de sa
famille. Elle a 3 soeurs, Winnifred (!!) qui est de santé fragile, Poppy et Beatrix. Merripen (!!), un mystérieux bohémien qui a toujours vécu avec eux depuis ses 12 ans les accompagne.
J'ai bien aimé l'histoire de ce couple formé par Amélia - celle qui
attire les accidents - et Cam - celui qui est toujours là où il faut
quand il faut. Même si à la longue les hésitations de l'héroïne m'ont
agacée. Limite au bout d'un moment, on se demande lequel des deux est le
plus attaché à sa liberté.
J'ai aimé y retrouver "Lord Saint-Vincent", l'homme machiavélique qui
s'était trouvé une âme dans "Un Diable en Hiver" (tome qui lui était
consacré dans la saga "la ronde des saisons"), qui est maintenant devenu
un "Dr Love" qui, pour le peu de temps qu'on le voit, dispense à
tout-va des phrases toutes faites sur le bonheur conjugal.
Mais ce qui m'a vraiment beaucoup plu. C'est l'histoire du couple
secondaire Winnifred et Merripen, qui auront pourtant leur propre moment
de gloire dans le tome 2 "L'étreinte de l'Aube", que je me suis
d'ailleurs empressée de commander, et que je peux plus me tenir
tellement j'ai hâte de l'avoir entre mes mains, devant mes yeux..
Que dire? Je suis tombée amoureuse de ce duo. Pour moi, ils volent
complètement la vedette au couple principal. A chaque page que je
tournais, avant de la lire, je la survolais rapidement pour voir si
j'entrapercevais le prénom d'un des deux. Leur petit couple m'a
complètement chavirée, c'est trop beau vers la fin quand Merripen... Ah,
je peux pas vous dire !
Cette nuit, je n'ai pas dormi beaucoup, parce que je voulais terminer le
livre, et ça c'est à cause de Winnifred et Merripen ! ^^
Bref, lorsque je rouvrirai ce livre dans quelques temps, je sais que ce
sera surtout pour relire les passages avec Winnifred et Merripen. Mais
avec un énorme plaisir !
Que ces ceux-là je les adore, que je voudrais m'acheter deux canaris,
deux souris, deux n'importe quoi pour les appeler Winnifred et Merripen.
Donc voilà, ce livre m'a bien plu et j'ai très envie de poursuivre la
série, toutes les soeurs m'ont paru sympathiques et j'ai bien envie de
connaître leur histoire à chacune. Il n'y a que le frère, Léo, j'espère
qu'il aura le temps de s'arranger d'ici son propre tome.
Bon, c'est quand que je le reçois mon tome 2 ?
J'ai hâte de le lire, et en même temps je ressens tellement d'enthousiasme que j'ai un peu peur d'être déçue.
Ma note pralinée :
/ 5
(Note arrondie à la praline supérieure pour Winnifred et Merripen !!)
Export Cowblog : article du 16/01/2013
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