lundi 25 août 2014

Nos Etoiles Contraires

Titre : Nos Etoiles Contraires / The Fault In Our Stars
Auteur : John GREEN
Genre : jeunesse, drame
Année : 2012           VF : 2013
Editions : Nathan

4e de couverture

Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. 
Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'est là qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. 
Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.

Mon avis :

Ca ne fait pas si longtemps que ça que ce livre est dans ma PAL mais je voulais le lire avant la sortie du film au cinéma. Vu que celui-ci est sorti le 20 août, il rentre pile-poil dans la consigne du mois "Lire un livre depuis trop longtemps dans votre PAL". 
Je ne cessais de lire des avis unanimement élogieux sur cette oeuvre, et je voulais me faire mon opinion, bien qu'à la base l'histoire ne me donnait pas trop envie. 

Ici, nous rencontrons Hazel, Augustus, Isaac et leurs familles. Les trois premiers sont des adolescents touchés par la plus horrible injustice : leur vie tourne autour du cancer qui leur est tombé dessus, ils ont du sacrifier leur quotidien, et même leur corps à cause de cette maladie et Hazel notamment se sait condamnée à plus ou moins court terme.

Si ces trois amis ont été rapprochés par la maladie, il n'aspirent qu'à vivre comme tout adolescent de leur âge. Ils ont des passions, des rêves comme tout un chacun qu'ils aimeraient réaliser et ils n'ont pas renoncé à l'amour.

Hazel, est une ado courageuse qui supporte son cancer de la thyroide et des poumons comme elle peut. Accompagnée de son chariot à oxygène et de ses tubes nasaux qui la suivent dans chaque geste de son quotidien, elle pose un regard cynique sur le monde qui l'entoure. 

Augustus, est en rémission après avoir laissé une de ses jambes à la maladie. Il fait preuve d'une vraie force, d'une joie de vivre et est toujours présent pour remonter ses amis quand ils ont un coup de mou. Entre Hazel et lui, c'est une jolie romance que l'on va voir naître.

Isaac est atteint d'un cancer des yeux. Mis à part ça, il essaie de vivre comme tout le monde. Il a une copine, et est addict aux jeux vidéos.

John Green a réussi à raconter l'histoire de ces personnages maudits en mêlant, fraîcheur, humour, aventures et émotions. C'est très bien dosé on nous raconte la maladie, les difficultés du quotidien, les rapports aux autres, les drames, sans fard. Et en même temps on assiste a de grands moments de complicité et de compréhension entre ces  trois amis qui veulent profiter de chaque jour comme si c'était le dernier et qui ont pris conscience de la valeur de la vie.
Le ton est quand même assez doux-amer dans le sens où l'on n'oublie jamais la maladie et l'humour est à tendance noire.

J'ai beaucoup aimé ce livre, qui m'a beaucoup remuée. Et même si j'ai commencé ma lecture avec un certain recul parce que je n'avais pas envie de m'attacher trop aux personnages pour ne pas être submergée par l'émotion, j'ai quand même versé quelques larmes.

C'est un livre que j'ai bien aimé. On attend toujours beaucoup d'un livre unanimement apprécié et je n'ai pas été déçue. 
Je pense que j'irai le voir le film.


Ma note pralinée :


/ 5



Compte pour le challenge

Août : Lire Un Livre Depuis Trop Longtemps Dans Votre PAL

5 commentaires:

  1. J'ai un peu peur d'être déçue par celui ci j'avoue... du coup je ne l'ai pas lu. Mais il faudrait que je tente aussi.

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    1. C'est un immanquable ce livre. Je pense qu'il pourrait te plaire ^^

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  2. Réponses
    1. Oui, c'est très loin de ce que je lis d'habitude, mais je regrette vraiment pas de m'être lancée.

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  3. Moi j'ai été pas mal déçue... Rien que d'y penser je n'en vois que les défauts en fait... c'est dommage, car je crois juste que c'est le style John green qui n'est pas fait pour moi...

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